Toast adressé au premier ministre Johnson à l’issue du dîner offert au pavillon de la France à l’Exposition universelle - 25 juillet 1967

Je vous remercie de m’avoir donné l’occasion de cette visite au Québec. Ni vous, ni moi n’avons perdu nos heures. Peut-être quelque chose se sera-t-il passé? Si, dans cette occasion, le président de la République a pu être utile aux Français du Québec, il s’en réjouira profondément.

Source : Renée Lescop, Le pari québécois du général de Gaulle, Montréal, Boréal Express, 1981, p. 168.